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Du 10 au 19 mars 2017 - 39e Festival international de films de femmes de Créteil (Créteil, France)
Hommage à Yannick Belllon
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Un matin comme les autres
© Les Films de l'Equinoxe |
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Un matin comme les autres, Yannick Bellon, 1957, France, 29min, avec Simone Signoret ; Loleh Bellon ; Héléna Manson ; Jacques Clancy ; Roger Carel ; Yves Montand ; René-Jean Chauffard ; Georges Chamarat
Dans une petite ville industrielle de la région parisienne, dix ans après la fin de la guerre, Janine Alix, jeune institutrice stagiaire, prend la défense de pauvres gens, que l’on veut expulser sans les reloger. Elle fait signer une pétition, alerte les pouvoirs publics et gagne son combat. Mais le soir du 11 novembre, elle quitte discrètement ses élèves, car l’inspecteur d’académie l’a mutée dans une autre école.
A l’origine, ce court métrage faisait partie du film : "Die Windrose" (littéralement : "La Rose des vents"), un semi-documentaire sur le rôle de la femme dans les luttes sociales, composé de cinq épisodes se déroulant au Brésil, en URSS, en France, en Italie et en Chine. Les autres courts métrages furent réalisés par Alex Viany, Serguei Guerassimov, Gillo Pontecorvo et Wu Kuo Yin. Le film a été supervisé par Joris Ivens et produit par la DEFA en RDA.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région
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Zaa, petit chameau blanc
© Les Films de l'Equinoxe |
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Zaa, petit chameau blanc, Yannick Bellon, 1961, France, 28min
Aïdi, jeune garçon de l’oasis de Tozeur, dans le Sud tunisien, a pour ami inséparable Zaa, un chamelon blanc, qui passe le chercher chaque jour à l’école. Mansour, un marchand, l’achète un jour pour la revente. A Djerba, où ses congénères sont condamnés à l’irrigation et au battage, l’air de "La Clé des champs" fait naître en lui la nostalgie de l’école d’Aïdi. Il s’enfuit. Ali, un potier d’art, l’utilise pour écouler sa production sur le continent. Il lui fausse compagnie. D’El-Djem, il va à Monastir, y rencontre un photographe, qu’il quitte à Sidi-bou-Saïd. Il croise alors Bechir, jeune guide des vestiges de Dougga, qui le met dans le train de Tozeur. Il se retrouve à Kairouan, la ville sainte. Asna, une petite tisserande, s’y attache à lui. Mis à une roue de noria par son père, elle le délivre, invoque longuement les djinns dans la Grande Mosquée et exauce son voeu de retour.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région
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Quelque part, quelqu'un
© Les Films de l'Equinoxe |
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Quelque part, quelqu'un, Yannick Bellon, 1972, France, 98mn, avec Loleh Bellon, Roland Dubillard, Christine Tsingos, Hugues Quester, Hélène Dieudonné, Paul Villé, Hélene Bernardin & Claude Lévi-Strauss
Paris, 1972 : ville inhumaine où les destins se croisent, sans toujours se reconnaître. Raphaëlle est architecte, mais a perdu l'enthousiasme de sa jeunesse. Elle cherche, en vain, à sortir de sa déchéance Vincent, courtier le jour et écrivain la nuit, qui se détruit par l'alcool. Il y a aussi un couple d'amoureux, qui se séparent, et un vieux couple, chassé du quartier où ils habitent.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région
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Festival international de films de femmes |
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Vendredi 17 mars 2017 - Projection - débat autour des films de Jean-Denis Bonan à l’auditorium de l’inha (Paris)
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Une Saison chez les hommes
© Jean-Denis Bonan / Collection CNC |
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Une Saison chez les hommes, Jean-Denis Bonan,
1967, France, 16min
Né à Tunis, un homme questionne sa vie et l’humanité sur un montage entremêlant sons, musiques et images du continent africain, de processions religieuses, de fêtes gitanes, de Salvador Dali, de foules, de manifestations.
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En savoir plus |
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Du 29 mars au 18 avril 2017 - Cycle Les enfants du cinéma muet à Fondation Jérôme Seydoux - Pathé (Paris)
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Le Noël de Madame, Collection CNC |
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Le Noël de Madame, 1908, France, 3min
Le 24 décembre, un couple revêtu de ses plus beaux habits est de sortie. Au cours de leur promenade, ils croisent une mère portant son enfant. La femme semble touchée par ce sentiment maternel. Profitant de leur absence, le père Noël livre ses cadeaux : ce sera huit enfants. De retour chez eux, le couple est enchanté de cette progéniture providentielle.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région.
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Une Héroïne de 4 ans © Gaumont Pathé Archives |
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Une Héroïne de 4 ans, Alice Guy, 1906, France, 6mn
Une domestique emmène au parc des Buttes-Chaumont la petite fille de ses employeurs. Elle s'assoupit sur un banc alors que la petite joue à la corde à sauter. Partie à l'aventure, celle-ci maîtrise deux voleurs et prévient les gendarmes. Plus tard trois noceurs lui doivent la vie pour avoir actionné elle-même un passage à niveau. Elle se présente au poste de police, rassurant à la fois des parents inquiets et une bonne rongée de culpabilité.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région..
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Le Tour de France par deux enfants
© Pathé Production
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Le Tour de France par deux enfants, Louis de Carbonnat, 1924, France, 189min, avec Grégoire Willy ; Lucien Legeay ; Gaston Derigal ; Claude Bénédict ; André Davesne ; Grandet ; Madame Sapiany
Septembre 1872. L’Alsace vient d’être annexée par les Prussiens et la France est humiliée. Au décès de leur père, deux orphelins de 14 et 7 ans, d’origine alsacienne, cherchent à rejoindre leur oncle Frantz, à Marseille. André et Julien sortent clandestinement de la ville de Phalsbourg pour rentrer en France. Leur périple commence. Ils vont traverser différentes provinces où ils sont accueillis avec bienveillance par une population de braves gens prêts à les aider. Les deux enfants poursuivent leur route, à pied, en voiture, à cheval, en train, en bateau. Affrontant parfois de gros dangers, ils font l’apprentissage du courage et de la persévérance. Toujours très attentifs, André et Julien découvrent les spécificités géographiques et économiques des régions traversées et l’histoire des grands hommes de France, goûtent aux produits du terroir, s’initient à l’agriculture, à l’économie domestique et à l’hygiène, apprennent le goût du travail. Ces connaissances acquises tout au long de leur voyage leur seront utiles lorsqu’ils s’installeront enfin avec leur oncle dans une ferme de l’Orléanais pour y vivre en communauté avec la famille d’un ami rencontré en chemin.
Ce film a été restauré et numérisé par le CNC. Il est consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région.
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Fondation Jérôme Seydoux-Pathé |
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Du 7 au 9 avril 2017 - Rétrospective Yannick Bellon au cinéma les 3 Luxembourg (Paris)
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L'Amour violé, Yannick Bellon, 1978, France, avec Nathalie Nell, Alain Fourès, Michèle Simonnet, Pierre Arditi, Daniel Auteuil, Bernard Granger & Rémi Waterhouse
Un soir, Nicole, infirmière à Grenoble, se rend chez des amis. Sur une route de campagne où elle circule en vélomoteur, elle est suivie par une camionnette. Les quatre hommes à bord commencent par la taquiner puis, l'obligeant à se dévêtir, la violent tour à tour. Profondément traumatisée, Nicole pense ne jamais pouvoir surmonter cette épreuve. Une amie lui conseille de porter plainte pour que cet acte puisse avoir une suite judiciaire.
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Goémons © Les Films de l'Equinoxe |
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Goémons, Yannick Bellon, 1948, France, 23mn
Les goémoniers de l'île de Béniguet mènent une vie rude. Durant les mois d'hiver, ils récupèrent le goémon échoué pour la fabrication des pains de soude. Les tempêtes du mois d'avril ramènent du fond le goémon, qui servira d'engrais et de combustible. Au mois de mai, à marée basse, les goémoniers arrachent des rochers le goémon noir destiné à la cuisine. Les beaux jours attirent sur l'île des gens du continent qui ramassent des galets et du varech.
Le film a reçu le Grand prix international pour le meilleur documentaire à la Biennale de Venise en 1948. Il a également été présenté au festival de Marianské-Lasné la même année.
Ce film a été restauré et numérisé par le CNC. Il est consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région.
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La Femme de Jean, Yannick Bellon, 1974, France, 105min, avec France Lambiotte ; Claude Rich ; Hippolyte Girardot ; James Mitchell ; Tatiana Moukhine
Après quatorze ans de mariage, Jean est parti. Sa femme Nadine est profondément blessée. Mais, une fois épuisées les larmes, les nuits blanches à force de souffrir, les questions sans réponse, Nadine réapprend peu à peu à vivre et à travailler. Rémi, son fils, à la joyeuse décontraction, l’aide d’une façon brusque mais salutaire. Il est difficile, cependant, de repartir à zéro sentimentalement et professionnellement pour celle qui, des années durant, n’a été que la femme de Jean. Nadine trouve un métier qui lui permet de rencontrer des gens souvent déshérités. Elle reprend simultanément des études et rencontre David, un étranger, avec qui elle se lie. Celui-ci va l’aider à prendre conscience de ses possibilités, et l’encourager à renaître. Lorsque Jean, intrigué par les dires de Rémi qui trouve sa mère "beaucoup mieux qu’avant", revoit Nadine, il la sent changée. Si changée qu’il lui vient comme des regrets... Mais Nadine n’est plus la femme de Jean. Elle s’est émancipée.
Concha d’argent, 1974 au Festival International de Cinéma (San Sebastian)
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Colette © Les Films de l'Equinoxe
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Colette, Yannick Bellon, 1950, France, 33mn
Dans son appartement du Palais-Royal, l'écrivain Colette s'entretient avec son mari Maurice Goudeket, qui lui fait part de son désir de tourner un film sur elle. Clouée dans son "lit-radeau" en raison d'une arthrite de la hanche, elle se fait prier malgré l'intérêt qu'elle porte à sa propre biographie. Elle passe en revue les diverses maisons qu'elle a habitées depuis son enfance. Les photographies des personnages qui ont compté dans sa vie défilent, Willy, sa mère Sido, Christine Kert, le pantomime Georges Wague. Jean Cocteau, son voisin et ami, lui rend visite.
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Varsovie, quand même...
© Les Films de l'Equinoxe |
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Varsovie, quand même..., Yannick Bellon, 1954, France, 16mn
A la fin de l'été 1944, Hitler donne l'ordre de raser Varsovie. Les cinq années qui ont précédé ont fait subir à la capitale polonaise des pilonnages aériens massifs, l'occupation nazie, l'insurrection du ghetto et l'exode. Les victimes civiles et la déportation lui ont fait payer un lourd tribut. Une destruction de la ville, méthodique, au lance-flamme et par dynamitage, fait disparaître en deux mois sept siècles d'Histoire et de culture. Libérée en janvier 1945, elle n'est plus que ruines et désolation. L'effort de reconstruction va s'attacher à ramener la vie dans des esprits et des lieux marqués par l'expérience de la douleur.
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Un matin comme les autres
© Les Films de l'Equinoxe |
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Un matin comme les autres, Yannick Bellon, 1957, France, 29min, avec Simone Signoret ; Loleh Bellon ; Héléna Manson ; Jacques Clancy ; Roger Carel ; Yves Montand ; René-Jean Chauffard ; Georges Chamarat
Dans une petite ville industrielle de la région parisienne, dix ans après la fin de la guerre, Janine Alix, jeune institutrice stagiaire, prend la défense de pauvres gens, que l’on veut expulser sans les reloger. Elle fait signer une pétition, alerte les pouvoirs publics et gagne son combat. Mais le soir du 11 novembre, elle quitte discrètement ses élèves, car l’inspecteur d’académie l’a mutée dans une autre école.
A l’origine, ce court métrage faisait partie du film : "Die Windrose" (littéralement : "La Rose des vents"), un semi-documentaire sur le rôle de la femme dans les luttes sociales, composé de cinq épisodes se déroulant au Brésil, en URSS, en France, en Italie et en Chine. Les autres courts métrages furent réalisés par Alex Viany, Serguei Guerassimov, Gillo Pontecorvo et Wu Kuo Yin. Le film a été supervisé par Joris Ivens et produit par la DEFA en RDA.
Film restauré et numérisé par le CNC et consultable sur les postes du CNC à la BnF (Paris) et à Bois d'Arcy (Yvelines) ainsi que sur les postes de l'INA en région
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Main basse sur Bel, Yannick Bellon & Jean Salvy, 1963, France, avec Alain Cuny, Sacha Briquet, René-Jean Chauffard, Fabienne Dali, Nicole Jonesco, Olivier Merlin & Michel Robin
Stupéfait par le chiffre d’affaire dégagé par l’industrie fromagère, un groupe secret d’hommes d’affaire charge Benson et ses hommes de main d’espionner la société des fromages Bel.
Sous les ordres de Benson, Boris, Visconti, Stranger et Voltaire s’introduisent dans les usines réparties dans la France entière, filment clandestinement les modes de production, analysent les fromages, enquêtent sur leurs bénéfices et leurs exportations.
Réalisant la richesse que représentent les fromages Bel, ils décident de cambrioler les stocks mais l’opération est avortée à cause de la visite du préfet à l’occasion du centenaire de la société.
La Triche, Yannick Bellon, 1984, France, 100min, avec Victor Lanoux ; Anny Duperey ; Xavier Deluc ; Michel Galabru ; Valérie Mairesse ; Roland Blanche ; Patrick Raynal ; Guy Tréjan ; Gérard Hérold ; Michèle Simonnet ; Jacky Laurent
Michel Verta est Commissaire Principal à Bordeaux. C’est un brillant fonctionnaire, bien noté par ses supérieurs et respecté par ses collaborateurs. D’un milieu aisé, il a une vie familiale sans problème malgré quelques aventures extra-conjugales. Nathalie, sa femme, les accepte, sans savoir qu’elles sont homosexuelles. A la suite du meurtre d’un ventriloque, Jean Morane, Michel Verta enquête dans la boîte de nuit où il se produisait. Il y rencontre Bernard Mirande, un jeune musicien pour lequel il ressent une vive attirance. Il se laisse bientôt aller à cette passion. D’abord secrète, elle finit par être connue de Nathalie qui ne la supporte pas, puis de Manuel Garcia, le brocanteur louche qui a tué Morane. Garcia n’aime pas Bernard. Un soir, il le menace de révéler ce qu’il sait. Une lutte s’ensuit : Garcia tombe et meurt. Bernard tente de cacher le cadavre mais la police le trouve et ouvre une enquête. Michel comprend et s’inquiète : sa vie privée peut apparaître au grand jour. Il invite alors Bernard à fuir. Lorsque les policiers se rendent chez lui, il n’est pas parti. En apprenant que Michel est là il se met à courir; un policier tire et le tue.
Déposé au CNC au titre du Dépôt légal sous le numéro 19890456
Les Enfants du désordre, Yannick Bellon, 1989, France, 97min, avec Emmanuelle Béart ; Robert Hossein ; Patrick Catalifo ; Mona Bausson ; Pierre Bergez ; Thierry Miroux ; Adel Bellali ; Yamina Meraihi ; Christiane Desbois ; Pierre Megemont ; Jacques Miquel ; Amélie Glenn
Dans la maison d’arrêt où elle est détenue provisoirement, Marie fait la connaissance d’une troupe théâtrale, formée par des délinquants en centre d’éducation surveillée et destinée à faciliter leur réinsertion dans la vie sociale. Libérée sous conditions, elle est prise en charge par les éducateurs. Mais elle reste en retrait, refermée sur elle-même, refusant de se plier aux activités du groupe. Lorsqu’elle se rend chez ses parents, qui élèvent sa petite fille Juliette, c’est surtout pour leur emprunter de l’argent. Son ancien ami et complice lui apporte parfois sa provision de drogue. Peu à peu, Marie s’intègre, avec l’aide de Patrick, l’éducateur et de Robert, le metteur en scène, malgré des rechutes et des crises de désespoir. Elle s’ouvre au monde extérieur et les sentiments qui l’unissent à Pierre, un autre ex-délinquant du centre, lui permettent de s’intéresser de nouveau à sa fille. Tous trois font un séjour idyllique au bord de la mer, mais au retour, les gendarmes arrêtent Pierre. Il avait "emprunté" la voiture pour ces vacances. Révoltée, Marie s’enfuit. Elle retrouve à Paris le monde glauque d’où elle avait failli sortir, le cercle infernal drogue-argent-prostitution. Pourtant, un dernier sursaut la fait revenir au centre. Robert lui rend le rôle qu’elle devait tenir dans la pièce montée par la troupe.
Film déposé au CNC au titre du Dépôt légal sous le numéro 19900315
L’Amour nu, Yannick Bellon, 1981, France, 100min, avec Marlène Jobert ; Jean-Michel Folon ; Georges Rouquier ; Zorica Lozic ; Sandrine Puel ; Hippolyte Girardot ; Roland Monod ; Michèle Simonnet ; Jean-Claude Carrière ; Tatiana Moukhine ; Jean-Pierre Savinaud ; Pierre Trente ; Adolphe Viezzi ; Vernon Dobtcheff ; Caroline Aguilar
Claire est interprète et libre de toute attache. Simon est océanographe et vit avec sa fille Sandrine. Ils se rencontrent, ils s’attachent, ils s’aiment. Mais à la suite d’un contrôle médical, Claire apprend qu’elle est atteinte d’une tumeur au sein. Dès lors, tout son univers bascule et le spectre du cancer la hante aussitôt. Rien ni personne ne sauraient l’attacher ou partager son mal, pas même Simon qu’elle quitte sans plus d’explication pour n’avoir pas à lui dire la vérité. Peu après, Claire se renferme sur elle-même et se résigne à l’inévitable opération de l’ablation du sein qui, de son point de vue, lui fera définitivement perdre sa qualité de femme. Renvoyé, Simon n’a pas pour autant renoncé. Le hasard et un ami lui ouvrent finalement les yeux. Et Claire, à son réveil, après l’intervention chirurgicale, comprend qu’elle n’est plus seule.
Film déposé au CNC au titre du Dépôt légal sous le numéro 19830220
L’Affût, Yannick Bellon, 1992, France, 104min, avec Tchéky Karyo ; Dominique Blanc ; Patrick Bouchitey ; Jean-Pierre Sentier ; Michel Robin ; Carlo Brandt ; Michel Fortin ; Pierre-Octave Arrighi ; Philippe Laudenbach ; Jean-Pierre Savinaud ; Gilles Najean ; Évelyne Buyle ; Patrick Catalifo ; Mickaël Tisseur ; Laurent Valero ; Charlotte Peronnier ; Gérald Grosbuis ; Jean Berny ; Chantal Clayette ; Maurice Cornet ; Patrick Delauneux ; Philippe Desbois ; Marie-Claude Darbon ; François Louvet ; Jeanne Manin ; François Morland ; Philippe Valette
Il y a du nouveau dans ce village des Dombes. Isabelle revient au pays après dix ans de galère avec son petit garçon, Vincent. Si Pierre, son frère, accepte mal son retour, il n’en va pas de même pour Franck, son autre frère. Ni surtout pour Guy, l’ami d’enfance, qui élève seul son fils Robert et qui voit en Isabelle la compagne rêvée, d’autant que les deux enfants sont les meilleurs copains. Il y a Jean aussi, qui vient d’arriver. Il partage son temps entre l’ornithologie et son métier d’instituteur et voudrait faire des étangs une réserve naturelle d’oiseaux. Entre Isabelle et Jean, c’est tout de suite une histoire d’amour. Jean s’oppose aux chasseurs et aux braconniers, s’indigne du massacre d’espèces protégées, bouscule les traditions, les habitudes et la prudence du maire vétérinaire. Il est de plus en plus rejeté par le village, mais a conquis les enfants depuis qu’il a sauvé un aigle-pyrargue pris dans un piège. La crise éclate lorsque l’aigle est abattu et qu’on découvre que Frank est à l’origine du trafic des braconniers. Jean quitte son poste et le village. Un jour qu’il est revenu baguer des oiseaux, Vincent le trouve. Il se rapproche enfin de lui. Et Isabelle apparaît à son tour.
Film déposé au CNC au titre du Dépôt légal sous le numéro 19920222
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Cinéma les 3 Luxembours |
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Lundi 17 avril 2017 - "second couteau et femme de chambre" à la Cinémathèque de Toulouse (Toulouse, France)
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Cargaison blanche © Roissy Films |
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Cargaison blanche, Robert Siodmak, 1937, France, 109min, avec Jean-Pierre Aumont ; Jules Berry ; Käthe von Nagy ; Suzy Prim ; Marcelle Praince ; Gisèle Préville ; Sylvia Bataille ; Marcel Dalio ; Gaston Modot ; Mady Berry ; Charles Granval ; Abel Jacquin ; Georges Jamin ; Max Maxudian ; Emile Saulieu ; Maurice Devienne
Des jeunes femmes, engagées comme danseuses, sont séquestrées et abusées dans une maison close à l’étranger. Henri Voisin, reporter à "Paris-Jour", recherche Yvette Martin, disparue mystérieusement à Barcelone. Il apprend que Moreno, directeur d’un dancing, se sert de cet établissement comme couverture pour attirer de jeunes provinciales. Il se rend au "Bar du Marabout", et fait la connaissance de Perez, homme de main de Moreno, et de Marion Baker, infiltrée comme danseuse dans la troupe d’Estella pour faire un reportage sur la traite des blanches. Blanco, commerçant sans scrupule, procure les faux passeports à ces jeunes mineures. Entre-temps, Marion comprend qu’Henri Voisin est reporter. Elle refuse de partager ses informations. De son côté, Henri, attiré par la jeune femme, se moque d’elle et la protège à son insu. Moreno, qui prépare le départ de ces demoiselles, apprend la mort d’Yvette Martin, sa protégée, envoyée à Rio par Blanco. Pour se venger, il attire Béatrice, sa fille, et l’embarque avec la troupe en partance pour Rio. Durant la traversée, les journalistes réussissent à faire coffrer Perez et Estella, mais un troisième passager avertit les truands, qui viennent récupérer les filles déguisés en policiers. Moreno annonce à Blanco que sa fille est dans un bordel à Rio. Blanco, devenu fou, poignarde l’imprésario et téléphone à la police. Les malfaiteurs sont arrêtés. Marion et Henri terminent ensemble leur article.
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Comment on fait un dessin animé de Walt Disney
Collection CNC |
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Comment on fait un dessin animé de Walt Disney, 1937, Etats-Unis
A Hollywood, Walt Disney et son équipe tournent le premier long-métrage d’animation "Blanche-Neige et les sept nains". Disney présente un film retraçant les différentes étapes d’élaboration d’un film d’animation, des dessins préparatoires au tournage sur celluloïd et l’enregistrement de l’accompagnement musical.
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Dunlopillo : Coussins et matelas : ce qu’en pensent nos grandes vedettes, Robert Mariaud, 1937, France, 2min
Un homme, confortablement assis dans son salon, vante la marque Dunlopillo, pour l’automobile et la maison, en présentant des utilisateurs, qui sont les vedettes de cinéma Victor Boucher, Simone Berriau, Dorville et Madeleine Renaud, ainsi que les cyclistes Charles Pélissier, Lucien Michard et l’aviatrice Maryse Bastié |
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La Cinémathèque de Toulouse |
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