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Editorial - 15 mai 2012 |
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Cette nouvelle livraison au sommaire varié témoigne de la diversité des activités des Archives françaises du film du CNC en ce printemps. Se concrétisent enfin plusieurs chantiers qui ont nécessité des mois de recherches et de restauration comme celui consacré au cinéma fantastique français. La programmation qui se déroule à la Cinémathèque française et l'ouvrage qui en découle ont permis de faire ressurgir nombre de films oubliés et d'interroger un genre que l'on associe rarement au cinéma français.
De même, à l'heure des commémorations saluant la signature des accords d'Evian en mars 1962, les Archives ont entrepris de documenter une grande partie des films évoquant ce pays et la représentation cinématographique des relations complexes qu'il entretint avec la France. Le corpus qui s'en dégage est vaste et tout à fait passionnant à explorer.
Le feuilleton "la vie d'un film à Bois d'Arcy" vous conduira à la découverte de Lise, "personnage" emblématique du quotidien partagé de tous ceux d'entre nous qui gérons les collections films des institutions patrimoniales que sont la Cinémathèque française, les Archives françaises du film, les Cinémathèques de Toulouse et de Grenoble. Faire sa connaissance est indispensable à quelques mois de sa mise à la retraite : elle cédera la place à un nouveau système d'information à la mise en place duquel travaille depuis un an l'ensemble des équipes. Un projet ambitieux se dessine, promesse de nouveaux épisodes pour notre feuilleton.
Béatrice de Pastre - Directrice des collections des Archives françaises du film - CNC
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"La vie d'un film à Bois d'Arcy"
17 - LISE – l'application métier des Archives françaises du film du CNC
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Ecran d'accueil de l'outil métier Lise
© CNC
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Il est temps, maintenant, de vous présenter "Lise"...
La plupart des portraits parus dans la lettre depuis le début de sa publication évoque ce prénom, en fait l'acronyme de "Logiciel Interactif de Sauvegarde et d'Enrichissement". Tout à la fois système de gestion du matériel filmique, base documentaire des films et des personnalités, gestion des prêts et sorties, programmation des travaux de restauration... Il n'est pas un service des Archives françaises du film à Bois d'Arcy ou de la Cinémathèque française à Saint-Cyr, qui n'utilise, peu ou prou, cette application métier développée spécifiquement pour le CNC.
"Lise" est née en 2004 à la suite des applications "Tess" (1987 à 1994) puis "Laure" (1994 à 2004) qui accompagnèrent le « plan nitrate » (plan de sauvegarde des films anciens sur support de sécurité). Ces applications ont permis, durant de nombreuses années, la gestion des stocks de boîtes de films en intégrant le système « code à barre » afin de distinguer les boîtes mais aussi leurs emplacements en fonction de l'état physique et chimique des films qu'elles contiennent. En 2001, à la faveur de l'évolution du travail archivistique autour des collections, est née au CNC le besoin de documenter la collection film. L'application Lise, outil développé avec les nouvelles technologies web (.Net), a apporté de nouveaux modules de gestion et de description couvrant les besoins liés aux missions qui étaient alors celles des institutions cinématographiques patrimoniales. L'informatisation de l'information fut un moment important et la Cinémathèque française, qui partageait en 2007 l'application Laure en utilisant sa variante Laura, fut associée à la réflexion puis à la migration vers l'application Lise pour ses collections films.
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Le Site internet, extension de Lise © CNC |
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En 2008 c'est la Cinémathèque de Toulouse qui intègre le cercle des utilisateurs Lise et s'approprie l'outil, suivie en 2010 par la Cinémathèque de Grenoble.
Lise a rempli son office : sa base de données regroupe les informations sur plus d'un million de boîtes : ce qu'elles contiennent, à qui elles appartiennent, où elles sont stockées, et ce, à Toulouse comme à Grenoble, à Saint-Cyr comme à Bois d'Arcy... Les films, dont elles sont le support, constituent la matière de plus de 162000 notices dont près de 47 000 sont affichées sur le site internet des Archives françaises du film du CNC... Les personnalités des génériques techniques et artistiques font également l'objet de notices permettant ainsi la constitution de filmographies... Toutes les informations nécessaires au bon déroulement des missions des différents services et celles permettant de retrouver un film sont dans Lise...
Mais Lise est aussi tournée vers le public : c'est par son intermédiaire que la lettre d'information parvient aux abonnés. Le site internet lui-même est sa partie visible, mis en ligne en novembre 2006.
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Ecran de résultats dans Lise © CNC |
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Cependant, Lise a été développée essentiellement pour le support filmique et les nouveaux médias peinent à y trouver leur place, les champs de description ne leur étant pas adaptés. Les missions évoluent tout comme la demande du public, notamment celle des festivals et des chercheurs. Il faut ainsi réfléchir à une évolution des fonctions de Lise, qui est arrivée aux limites imposées par la technologie qui lui a permis de se développer. La nouvelle norme européenne, dont il était déjà question dans la lettre n°19 du 13 juillet 2011, va permettre d'indexer autrement les oeuvres cinématographiques et induire une nouvelle organisation des données. La description des objets en sera plus fine et des relations entre films et documents afférents (affiches, scénario, photo de plateau, costumes, script etc.) pourront être établies et visualisées. Ainsi après dix années de bons et loyaux services, Lise livrera ses données à un nouvel outil... Non encore baptisé, encore en devenir, ce nouvel outil fait l'objet de travaux communs entre le CNC et la Cinémathèque française. Les partenaires de Lise, et de Cinéressources, sont également conviés à la table de réflexions qui aboutira à un cahier des charges dès l'automne 2012...
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Le Cinéma fantastique français
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Le Petit Poucet, Marius O'Galop, 1922
© Pathé Production |
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En avril et en mai les Archives françaises du film du CNC ont programmé à la Cinémathèque française un cycle sur le cinéma fantastique français des origines aux années quatre-vingt. A l'occasion d'une soixantaine de séances, cette manifestation permet de (re)découvrir bon nombre d'oeuvres oubliées ou peu connues, toutes issues des collections. En effet, existe t-il un “fantastique” à la française ? Le conte et la féérie sont des thématiques récurrentes du genre en France, témoin Le Petit Poucet qui a inspiré bon nombre de réalisateurs, dont l'une des premières versions remonte à 1909 et la dernière à 2009. Il y a bien une spécificité française dans la filmographie des premiers temps grâce au génie et à l'inventivité des pionniers tel Méliès mais aussi Gaston Velle. Celui-ci fit ses premières armes chez les frères Lumière pour lesquels il tourna la série des « Vues fantasmagoriques ». Sans oublier bien sûr Louis Feuillade ou encore Albert Capellani. Les années vingt sont marquées par l'étrange personnalité d'Edouard-Emile Violet mais contrairement au cinéma américain ou britannique qui a très vite intégré des personnages « monstrueux » souvent néfastes, le cinéma français au contraire a préféré favoriser une esthétique poétique au travers d'êtres surnaturels.
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Le Petit Poucet, Michel Boisrond, 1972
© Succession Michel Boisrond |
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Les fantômes, les fées, les sorcières sont donc omniprésents à l'écran... Le cinéma français n'a pas non plus privilégié « les savants fous » bien qu'il en existe quelques-uns tels l'effrayant Jean-Louis Barrault dans le Testament du Docteur Cordelier de Jean Renoir ou encore le cynique et séduisant Alain Delon dans Traitement de choc d'Alain Jessua. Sans oublier Le Monde tremblera, de Richard Pottier, dont la folie du héros n'est qu'un prétexte pour aborder la montée du nazisme. Il s'agit aussi d'un film d'anticipation puisque chacun peut y prévoir l'heure de sa mort, thème repris dans le curieux Le Temps de mourir d'André Farwagi où un homme découvre son assassinat prochain sur une bobine de film. Quant au premier film de science-fiction proposant un voyage dans le temps, il faut attendre 1941 avec le très kitsch Croisières sidérales d'André Zwobada, là encore prétexte pour s'évader de ce monde troublé... Des rêves et des cauchemars aussi, certains en version comique comme L'Armoire volante de Carlo Rim mais d'autres bien plus angoissants, comme Les Créatures d'Agnès Varda. Enfin, cette rétrospective nous offre également la possibilité de voir le premier et unique film français primé au Festival du film fantastique d'Avoriaz réalisé en 1982 par Jean-Pierre Mocky, Litan. C'est l'occasion de retrouver ces films rares à travers huit thématiques principales embrassant près d'un siècle de la production française.
A noter enfin, la sortie, au mois de juin, d'un ouvrage édité par le CNC sur le Cinéma français fantastique.
Accès à la programmation
Entretiens filmés sur la WebTV du CNC
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Hommage au cinéaste Claude Miller
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Claude Miller au festival de Cannes en 2003
© Georges Biard |
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Le cinéaste Claude Miller nous a quittés le 4 avril 2012 des suites d'une longue maladie, à l'âge de soixante-dix ans. Diplômé de l'IDHEC dont il sort major, il y réalise deux courts-métrages : Le Serpent et Reportage (déposés aux Archives françaises du film du CNC). En 1962, il débute comme assistant-réalisateur sur un court-métrage documentaire de Jean Venard Sur le même palier, puis effectue son stage de fin d'études, toujours en tant qu'assistant-réalisateur, sur le tournage de Trois chambres à Manhattan de Marcel Carné en 1965. Jusqu'au début des années soixante-dix, il continue dans cette voie en travaillant avec Robert Bresson (Au hasard, Balthazar), Jean-Luc Godard (Week-end), Jacques Demy (Les Demoiselles de Rochefort ), Michel Deville (Martin Soldat ) ou encore Jean-Paul Savignac (Nick Carter et le trèfle rouge), Jean Herman (Le Dimanche de la vie), Philippe Fourastié ( La Bande à Bonnot ), Gérard Pirès (Fantasia chez les ploucs et Elle court elle court la banlieue). Pour gagner sa vie, il est également régisseur général sur Deux ou trois choses que je sais d'elle de Jean-Luc Godard, L'Ecume des jours de Charles Belmont et Pierre et Paul de René Allio. En 1967, il réalise son premier court métrage Juliet dans Paris. Homme aux multiples talents, il devient le directeur de production de François Truffaut sur tous ses films entre 1968 et 1975, excepté La Nuit américaine, tout en réalisant deux nouveaux courts-métrages en 1970 et 1971 : La Question ordinaire puis Camille ou la comédie catastrophique tous deux présentés à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. En 1975, il décide de passer au long-métrage avec La meilleure façon de marcher. Il réalise par la suite plus d'une quinzaine de fictions pour lesquelles il est parfois aussi scénariste ( La meilleure façon de marcher, Dites-lui que je l'aime, Garde à vue, qui lui permet d'accéder à la consécration avec quatre Césars, L'Effrontée, L'Accompagnatrice, Le Sourire, La Chambre des magiciennes, Betty Fisher et autres histoires, La Petite Lili, Un secret) tout en continuant à écrire également pour d'autres : Plein Sud (1977) et La Tortue sur le dos (1980) de Luc Béraud, Vent de panique (1987) de Bernard Stora. Il lui arrive d'être comédien dans les films de ses amis comme par exemple Notes pour Debussy-Lettre ouverte à Jean-Luc Godard (1988) de Jean-Patrick Lebel, avec Marina Vlady. Peu avant sa mort, il a achevé le montage de son dernier film Thérèse D, adapté du roman de François Mauriac Thérèse Desqueyroux, qui sera projeté hors-compétition lors de la soirée de clôture du festival de Cannes.
Retrouvez les films de Claude Miller, consultables dans les emprises du CNC, grâce à la recherche "personnalité" sur le site internet des Archives françaises du film du CNC.
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Hommage à Raymond Aubrac
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10 minutes sur les F.F.I.
© Ciné-Archives |
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Raymond Aubrac, l'une des dernières figures majeures de la Résistance en France vient de disparaître le 10 avril, à l'âge de quatre-vingt-dix-sept ans. Résistant de la première heure avec sa femme Lucie, le couple rejoint dès la fin de 1940, le mouvement 'Libération de zone sud', fondé par Emmanuel d'Astier de la Vigerie.
Ces heures sombres mais essentielles de l'histoire contemporaine sont à retrouver dans de nombreux films conservés aux Archives françaises du film du CNC par une recherche par mot clé "résistance" ou grâce au thème "histoire et politique" sur le site internet des Archives.
Recherche avancée par mot clé
Recherche thématique
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Corpus Algérie
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Hôpitaux d'Algérie © DR |
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Le 19 mars dernier, on a commémoré le cinquantième anniversaire de la signature des accords d'Evian et du cessez-le-feu qui ont mis un terme à la guerre qui durait depuis 1954 en Algérie. A cette occasion, les Archives françaises du film du CNC mettent en avant le vaste ensemble de films déposés à Bois d'Arcy qui, s'ils ne traitent pas frontalement de ces « événements » qui ne disaient pas toujours de quoi ils étaient le nom, n'en permettent pas moins d'appréhender le contexte dans lequel s'est déroulée la Guerre d'Algérie. Réalisés entre le début des années 1940 et 1969, et majoritairement issus des collections « non-fiction » des Archives, ils jettent une lumière particulière sur le conflit, éclairant ses racines et évoquant certaines des suites directes des accords d'Evian pour la France.
Commandités par le gouvernement, beaucoup de ces films documentent le vaste ensemble de mesures économiques prises par la France dans l'objectif de garder l'Algérie dans son giron. Portant sur les secteurs de l'agriculture, l'industrie ainsi que la recherche d'hydrocarbures, et visant à l'amélioration de l'habitat et au développement des infrastructures et des réseaux de communications, le « plan de Constantine » prévoyait plans d'urbanisme et travaux d'aménagement du territoire de grande envergure. C'est en 1958 que le général de Gaulle le met officiellement en place ; des documents tels que Hydraulique agricole dans le Constantinois, réalisé en 1955 par Jean Guglielmi, et Hôpitaux d'Algérie, que signe Maurice Serein en 1952, témoignent toutefois des prémices de ce déploiement.
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L'Afrique du Nord © DR |
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Mais cet ensemble reflète surtout la réalité humaine à l'orée de la guerre. Si à l'instar de La Démographie algérienne (1959) de J.K Raymond Millet, il montre un pays en pleine expansion, il n'en expose pas moins les inégalités sociales, et révèle la permanence d'un discours colonialiste où perdure la typologie raciale, et qui se réfère fréquemment à l'Antiquité et au passé romain de l'Algérie. Regarder aujourd'hui L'Algérie et notre conscience (1955) ou Défense de l'Algérie (1956) de Philippe Brunet et Gilbert Prouteau, permet sans doute de comprendre comment se creuse l'écart entre les différentes populations, alors même que ces films font à l'époque la propagande du caractère soudé de la communauté franco-algérienne.
L'indépendance de l'Algérie n'empêche pas immédiatement la France de poursuivre le développement de la recherche scientifique – et en particulier, de son programme nucléaire. Elle ne renonce pas non plus aux programmes aéronautiques et spatiaux déjà engagés, et un bail prévoit ainsi sa présence pour cinq années supplémentaires à la base d'études spatiales d'Hammaguir, au Sahara. Héros de l'air, réalisé par Georges Laurent et Jean Mitry en 1963, ou encore Recherche spatiale (1968) de Bernard Paris démontrent par exemple cette continuité.
Au-delà de l'ensemble spécifique dont il est ici question, les collections des Archives françaises du film de CNC recèlent bien d'autres oeuvres et documents ayant pour objet l'Algérie, images rapportées par les opérateurs Lumière ou films coloniaux. Nombre d'entre eux sont intégrés aux différents corpus thématiques rassemblés par nos documentalistes, tels que « Découverte du monde », « Economie/Industrie/Artisanat », ou encore « Histoire et politique ».
Ensemble thématique Algérie
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Congrès de la Fiaf à Pékin
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Logo Fiaf 2012 |
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Le rendez-vous que donne chaque année la FIAF à ses adhérents à l'occasion de son congrès, a rassemblé à Pékin nombre de Cinémathèques et archives de films venues du monde entier. Le symposium a permis aux congressistes d'échanger leurs points de vue et leurs suggestions sur les questions clés que sont la collecte, l'archivage, la conservation, la restauration et la
diffusion des films d'animation. De nombreuses projections de films d'animation venus du monde
entier ont été organisées grâce à l'aide et à la participation de tous les membres
de la FIAF. C'est un véritable festival du film d'animation qui s'est tenu à cette occasion avec la projection de 120 courts métrages d'animation provenant
de 22 cinémathèques de 15 pays, ainsi que 10 dessins animés classiques chinois. Les Archives françaises du film du CNC ont été présentes avec la présentation du film de montage "Les Pionniers de l'animation, du praxinoscope au cellulo", une communication sur Emile Reynaud, ainsi que sur les frères Frenkel, qui pris place dans le symposium.
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Mission aux Etats-Unis
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Les échanges entre membres de la Fiaf peuvent revêtir différentes formes. On pense aux échanges de copies pour la reconstitution des filmographies nationales mais on imagine moins la mise en commun d'expérience technique en matière d'hygiène et sécurité. Pourtant en juin dernier le centre de conservation de Culpeper de la Library of Congres a accueilli deux de nos collègues en charge de ces questions aux Archives françaises du film du CNC pour confronter les choix technologiques face aux contraintes environnementales et de sécurité. Avec Joseph Mouradian et Pierre-Etienne Letrun, entamons ce voyage au coeur des archives cinématographiques américaines...
Rapport de mission aux Etats-Unis (document PDF)
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Films restaurés par les AFF-CNC projetés dans le cadre de la diffusion culturelle
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Midi Minuit,
© Pierre Philippe © Pierre Philippe |
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Le grand événement des Archives françaises du film du CNC est la rétrospective des films fantastiques français qui se déroule à la Cinémathèque française du 18 avril au 18 mai.
Début mai, le programme Fignolés mains est à l'affiche du Lux, scène nationale de Valence. Toujours en mai, les femmes sont à l'honneur à la Cinémathèque de Toulouse avec deux films restaurés des Archives françaises du film du CNC : Triple entente avec Musidora et La Tierra de los toros de Musidora... Fin mai, les ciné-concerts se succèderont au festival d'Anères.
Au mois de juin, a lieu le festival Il Cinema Ritrovato, à Bologne, où les Archives françaises du film du CNC seront présentes comme chaque année. Elles présenteront, entre autres, des programmations autour des oeuvres de Jean Comandon, Capellani, un cycle sur la couleur.. Trois films de Lionel Soukaze seront à l'affiche au festival Ecrans Mixtes à Lyon. Les Archives françaises du film du CNC ont confirmé également leurs présences aux Rencontres audiovisuelles de Lille et au festival d'été à l'Institut Jean Vigo de Perpignan.
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Crédits
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Textes : Béatrice de Pastre, Dominique Moustacchi, Laurent Bismuth & Magali Gourret
Iconographie et photos : Magali Gourret
Remerciements à Sabrina Mihoubi, Pierre-Etienne Letrun, Joseph Mouradian, Driss Tsila & Eric Le Roy
Relecture et corrections : Dominique Moustacchi
Coordination technique et mise en ligne : Driss Tsila
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