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Editorial - 23 juillet 2012 |
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Les Archives françaises du film du CNC se mettent, elles aussi, à l'heure de l'été et suivent à travers leurs collections le Tour de France. On pourra ainsi revivre l'évolution de cette pratique, contemporaine du cinématographe, de la distraction ludique au professionnalisme en passant par l'amateurisme passionné.
Mais l'été est aussi celui des festivals qui de juin (Bologne) à octobre (Pordenone) rythment l'agenda des cinéphiles et autres curieux de cinéma. Les Archives seront présentes tout au long de cette periode estivale pour apporter une touche patrimoniale à ces déambulations cinématographiques.
L'été est également le meilleur moment pour découvrir l'envers du décor et faire connaissance avec le chef d'orchestre du site internet des Archives : la webmaster qui met en scène sur la toile l'ensemble des informations produites par tous les services des Archives françaises du film du CNC.
Bel été d'exploration !
Béatrice de Pastre - Directrice des collections des Archives françaises du film - CNC
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Lancement du projet européen EFG1914
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En association avec 25 partenaires parmi les archives européennes, les Archives françaises du film du CNC collaborent au projet européen EFG1914 (http://project.efg1914.eu/), qui vise à numériser et à rendre accessible un grand nombre de ressources cinématographiques liées à la Première Guerre mondiale. Le projet prévoit la numérisation d'environ 650 heures de films datant de la Grande Guerre ou portant sur ce sujet, ainsi que leur mise en ligne sur le portail internet EFG www.europeanfilmgateway.eu et sur la librairie numérique européenne Europeana (www.europeana.eu). Une exposition virtuelle sera conçue pour valoriser ces contenus.
Les Archives françaises du film du CNC ont ainsi proposé dans ce dispositif une centaine de titres, reflétant leurs collections et celles de leurs partenaires.
En savoir plus
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Film en quête d'identification : une course cycliste en 1937
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![[Le Derby de Saint-Germain 1937 : Rushes]](http://www.cnc-aff.fr/internet_cnc/Internet/LettreInfo/Lettre23/Hoboken01.jpg) |
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[Le Derby de Saint-Germain 1937 : Rushes]
© Collection CNC-AFF |
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Il s'agit, cette fois-ci, d'un film en deux bobines contenant les épreuves non montées d'une course cycliste initialement annoncée comme étant le "Grand prix du 1er mai d'Hoboken en Belgique" (1937).
Cependant il se pourrait que l'événement ici filmé soit plutôt le "Derby de Saint-Germain" qui se disputait la même année 1937. La nature de l'épreuve, dite de demi-fond, ainsi que le parrainage du journal communiste "Ce soir" confirmerait cette hypothèse. De plus, il semble que les coureurs représentés soient Paul Chocque, qui fut le vainqueur de ce derby, Jean Noret et Jules Merviel qui participaient précisément à cette course. Un internaute combinant à la fois un intérêt pour le cinéma et pour le cyclisme pourrait confirmer, ou infirmer, cette identification...
Résumé : Parrainée par le journal "Ce soir", une épreuve cycliste derrière moto se dispute sur des routes bordées d'arbres. De nombreux spectateurs assistent à la course qui se termine par la victoire de l'équipe Génial-Hutchinson.
Films en quête d'identification
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Film en cours d'identification... |
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Fired Again Photo fournie par notre correspondant... © Library of Congress |
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Il y a plus de deux ans, dans la lettre n°13 de janvier 2010, nous proposions à l'expertise de nos lecteurs un film datant de 1918, d'après l'étude de la pellicule. Si le protagoniste principal avait bien été identifié en la personne d'Al St John, il n'en était pas de même pour l'actrice. Certains pensaient reconnaitre Mabel Normand, d'autres évoquèrent Josephine Stevens, ou encore Alice Lake... Au début du mois de juillet, le même jour, coup sur coup, deux messages nous parviennent identifiant, de façon certaine, la comédienne comme étant Betty Brown, et datant le film de 1920. Un titre, enfin, est posé sur les photogrammes proposés. Ou, plus exactement, deux titres... En effet, le premier message nous propose SHIP AHOY et le deuxième reconnaît le film sous l'intitulé FIRED AGAIN, fournissant à l'appui des copies de photos d'exploitation où les acteurs et leurs costumes sont en tout point ceux des photogrammes extraits de la copie conservée dans les collections des Archives françaises du film. Par la suite, notre interlocuteur nous précisa que le titre original était bien SHIP AHOY puis que la Warner Brothers ressortit le film sous un nouveau titre : FIRED AGAIN. C'était une pratique courante de la société de production qui, ainsi, donnait au public l'illusion de découvrir de « nouveaux » films à moindre frais.
Films en quête d'identification
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Bologne - Il cinema ritrovato
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Film trichrome jumeaux - Lascelles Davidson
© Collection CNC-AFF |
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La 26e édition du festival Il Cinema Ritrovato s'est tenue à Bologne du 23 au 30 juin : huit jours de projections, débats, présentations et animations dans les quatre salles sans oublier l'écran du soir en plein air à la Piazza Maggiore.
Comme tous les ans, la programmation très riche a permis de découvrir plusieurs rétrospectives avec des films restaurés ou retrouvés. La section consacrée aux restaurations permet de voir des oeuvres sous format numérique dans des versions parfois inédites, comme Il était une fois en Amérique (Sergio Leone, 1984), mais aussi de qualité exceptionnelle comme La Grande illusion (Jean Renoir, 1937), Lola (Jacques Demy, 1961), Les Misérables (Raymond Bernard, 1930) ou encore Le Voyage en Italie (Roberto Rossellini, 1951).
Le festival poursuit sa recherche sur le cinéma en couleurs, avec notamment des oeuvres de légende, très différentes, comme Samson et Delilah (Cecil B.DeMille), Lawrence d'Arabie (David Lean), Bonjour Tristesse (Otto Preminger), The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell).
A cela se sont ajoutées les couleurs du cinéma muet, dans des versions restaurées remarquables, redonnant vie aux couleurs du passé, tels les essais de William Friese-Greene, Norman Lascelles Davidson et Benjamin Jumeaux ou encore ces films de l'année 1912: La Journée d'une musulmane, Les Floraisons, Recette pour faire éclore les roses pour n'en citer que quelques uns extraits des collections des Archives françaises du film du CNC.
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Maldone © ZZ Productions |
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Le cinéma français a été de nouveau à l'honneur avec une sélection de films de Jean Grémillon, metteur en scène, scénariste, mais aussi musicien, compositeur, auteur. Un artiste complet, singulier, qui reste l'un des réalisateurs importants de l'histoire du cinéma français ayant exploré la place de l'homme dans le monde… Maldone, restauré par les Archives françaises du film a été pour beaucoup une révélation, tout comme Gardiens de phare, mais également les films sonores des années trente : Gueule d'amour, Remorques, Lumière d'été, Le Ciel est à vous.
En 2003, le festival a commencé une recherche globale des films diffusés cent ans auparavant. Ce projet, quelque peu expérimental au départ, donne une vision très dynamique à partir de films oubliés du monde entier, et l'année 1912 n'y a pas dérogé. On a découvert ainsi des oeuvres de la Vitagraph, autour des thèmes du double et du miroir, du cinéma colonial, et des premiers home movies.
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Le cyclisme dans le cinéma
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Départ de cyclistes
© Association frères Lumière |
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En cet été 2012 marqué par les événements sportifs de première grandeur – Euro de football, championnats d'Europe d'athlétisme et surtout, Jeux Olympiques qui se tiendront à Londres du 27 juillet au 12 août prochain -, les Archives françaises du film du CNC ont choisi d'honorer une discipline spécifique, le cyclisme, qui a toujours entretenu sa propre mythologie, et singulièrement son épreuve-phare, le Tour de France. Ses grandes figures sont à l'origine d'images fortes qui ont marqué l'esprit des générations successives.
Lorsqu'en 1903 et pour tenter d'augmenter son lectorat aux dépens de son rival historique Le Vélo, le quotidien sportif L'Auto annonce la création du Tour de France, le cinématographe est encore dans sa première décennie. Dès cette origine il a su pourtant affirmer la cinégénie particulière de la « Petite Reine ». Ainsi, deux cyclistes qui s'arrêtent le long du trottoir d'une rue où passent encore des cavaliers figurent en bonne place dans un film Lumière de 1896, et c'est le même motif exactement que l'on retrouve dans Bois de Boulogne, porte Dauphine saisi en 1899 par Etienne-Jules Marey et Lucien Bull.
En 1896 encore, un opérateur rapporte d'Espagne les images d'une unité de cyclistes paradant lors d'un défilé militaire. Ces documents constituent les plus anciens du corpus constitué autour du cyclisme par les Archives françaises du film du CNC, essentiellement à partir de leurs collections de non-fiction. Y figure en bonne place Roues libres (1949) de Léo de Gioanni, qui retrace l'histoire de la bicyclette depuis la draisienne, et du grand succès populaire qu'elle connaît grâce au sport et aux nombreux coureurs, français et étrangers, sur piste et sur route, qui accèdent rapidement à la célébrité.
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Le Tour de France 1950
© Succession Joudioux |
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C'est donc logiquement que le corpus « Cyclisme » fait la part belle aux images du Tour de France dont au fil des ans, la couverture devient une figure imposée pour les actualités filmées, et le sujet de prédilection de réalisateurs épris de sport dont certains, parmi les plus spécialistes, se font même un nom. A l'instar de Jacques Berr, qui signe Le Tour de France 1950 et pour la même société de production - La France en Marche -, livre encore l'année suivante Le 38e Tour de France cycliste , ou Giovanni Elli, qui co-réalise Le 35ème Tour de France en 1948 sous les couleurs de L'Equipe et Cinésport, puis Giro di Francia '49 (24 jours de course) pour le compte de la C.I.A.C. (Compagnia Italiana Attualità Cinematografiche). Leurs chroniques filmées constituent le pendant en images de l'épopée journalistique et littéraire qu'édition après édition, construisent les commentateurs passionnés du Tour, au premier rang desquels on compte bien sûr Antoine Blondin.
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Le 35ème Tour de France © L'Equipe
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D'autres courses sont représentées dans cet ensemble parmi lesquelles des classiques telles que Bordeaux-Paris, dont la 41ème édition est le sujet du Derby cycliste de la route en 1935, et qui sera encore mise en avant dans 50ème Bordeaux-Paris, coupe Kléber-Colombes que Jacques Berr réalise en 1950, ou Bordeaux-Grenoble, filmée en 1946 par Pierre Landry dans La Ronde de France. Mais c'est bien le Tour de France qui, ayant conservé les faveurs du grand écran pendant plusieurs décennies, est majoritairement représenté dans notre corpus « Cyclisme » : citons encore Ceux du Tour (1935) de Lucien Cazalis, ou Pour un maillot jaune (1965) de Claude Lelouch. Sans oublier Vive le tour! (1962), dans lequel le cinéaste Louis Malle parvient à restituer parfaitement l'ambiance de la Grande Boucle, avec le défilé des voitures publicitaires et la foule au bord des routes, le déroulement des étapes et la difficile ascension des cols, les abandons et les chutes, et finalement la victoire, qui cette année-là va à Jacques Anquetil.
Depuis plus d'un siècle, le cyclisme professionnel se trouve à la croisée d'enjeux commerciaux toujours plus grands, et le Tour de France est en proie, depuis sa naissance, à une pression médiatique qui ne s'est jamais relâchée. L’épreuve-reine est aujourd’hui devenue un pur objet de télévision, dont elle a écrit certaines des plus belles pages en direct, malgré les débats qui entourent depuis des décennies les pratiques de certains coureurs. Il a semblé pertinent aux Archives françaises du film du CNC de permettre la redécouverte de ces documents cinématographiques qui ont contribué à édifier la glorieuse légende des Géants de la Route.
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"La vie d'un film à Bois d'Arcy"
18 - webmaster
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Magali Gourret © CNC |
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Si vous avez accès aux données concernant l'actualité des Archives françaises du film du CNC, c'est grâce à au site internet et à sa lettre d'information. Mais qui se cache derrière cette "mise en ligne" ? Magali Gourret, la webmaster. C'est elle qui orchestre le contenu éditorial et qui gère la lettre trimestrielle. Elle est arrivée aux Archives en 2005 pour participer au développement du site, qui initialement était essentiellement dédié à la mise en ligne du catalogue des collections. «Le site internet est relativement jeune puisqu'il existe depuis 2006. Une partie, pour la consultation du catalogue, est gérée par l'application Lise dont nous avons parlé dans la lettre précédente, une autre évoque l'histoire et les missions des Archives et la dernière s'emploie à valoriser les collections. Je m'occupe essentiellement de tout ce qui concerne cette éditorialisation» nous dit-elle.
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Rubrique internet Films en quête d'identification |
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Elle prépare la rubrique «A l'écran» : qui présente les films issus des collections, restaurés ou simplement déposés, programmés et projetés, dans le cadre de festivals ou de rétrospectives. À partir de cette rubrique elle constitue le catalogue en ligne des films découverts par le public depuis 2007. Cette nouvelle rubrique est une source d'inspiration pour les programmateurs et la mémoire en construction permanente de l'institution. Deux autres entrées du site lui tiennent particulièrement à cœur : «L'identification des films» et «Les parcours découvertes». Pour la première, elle présente les photogrammes des films que les équipes n'ont pas identifiés. Ainsi, depuis le début du mois de juillet, elle est en relation avec un chercheur américain qui a trouvé le titre d'un film en quête d'identité depuis plus de deux ans. «Cela fait vraiment plaisir quand enfin on peut mettre un nom sur un film considéré comme inconnu» nous dit-elle avec bonheur. Pour la seconde, elle conçoit des dossiers thématiques sur des sujets divers comme certains métiers des Archives, des restaurations emblématiques ou des focus sur des personnalités autour desquelles une actualité cinématographique peut être construite. « Ces parcours permettent de mettre en valeur les collections ou le travail des équipes. Les choix sont déterminés par l'actualité, les commémorations nationales, ou encore les missions à l'étranger de certains d'entre nous, ce qui permet de montrer que l'activité des Archives s'étend au-delà des murs du fort de Bois d'Arcy. Il arrive aussi que certaines thématiques soient le reflet des chantiers des agents comme le parcours Marey». Pour celui consacré à Boris Vian à l'occasion du cinquantenaire de sa mort, Magali a découvert qu'il y avait énormément de documents exploitables dans les dossiers de classification et qu'il était donc particulièrement intéressant de les restituer au public, dans le cadre légal qui les régit.
Quand elle n'a pas les moyens de construire un «Parcours découverte», elle propose un «ensemble thématique», qui met en valeur un ensemble de films autour d'un thème afin que les internautes accèdent à un corpus particulier. Cet ensemble est toujours accompagné d'un texte, rédigé par l'un des responsables documentaires, qui contextualise les documents par rapport à l'ensemble des collections et le replace en perspective avec l'histoire du cinéma et de l'audiovisuel.
Magali veille à la remise des textes, à leur calibrage ... Un vrai travail d'éditeur !
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Parcours découverte Boris Vian |
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En ce qui concerne l'edition de la lettre des Archives françaises du film, «sa rédaction est particulièrement enrichissante car cela me permet d'apprendre beaucoup de choses et de mieux connaître l'activité des Archives. Mais l'une des difficultés est de recueillir les informations... Le site étant encore jeune, les équipes n'ont pas toujours le réflexe de m'envoyer les renseignements sur les programmations en cours. Donc quand je n'ai pas le temps, ces données ne sont pas nécessairement diffusées» déplore t-elle. La lettre est envoyée dans le monde entier. Son espoir est qu'un jour elle soit bilingue car «nous avons énormément de correspondants non francophones et la fréquentation du site est en progression constante». Elle conclue en riant : «en général, c'est moi qui écrit les portraits...Sauf celui-ci ! »
Parcours découverte
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Visite de la batterie de Bois d 'Arcy |
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Un groupe en visite
© CNC |
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Comme tous les ans, la ville de Bois d'Arcy organisait son festival de cinéma "Mémoire des toiles", consacré au passage de l'écrit à l'écran, de la fin juin au début du mois de juillet. Les Archives françaises du film du CNC y bénéficiaient, cette année encore, d'une carte blanche. Elles ouvrirent leurs portes à cette occasion aux festivaliers pour visiter les installations dédiées à la conservation du patrimoine cinématographique.
Plus d'une soixantaine de
personnes se sont inscrites à cette visite qui rencontra un grand succès. Petits et grands bénéficièrent des explications de leurs guides et apprécièrent tout particulièrement le site en lui-même, la météo se montrant clémente juste le temps nécessaire !
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Films restaurés par les AFF-CNC projetés dans le cadre de la diffusion culturelle
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L'Eveil © Collection CNC-AFF |
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Au cours du mois de juillet, le film restauré par les Archives françaises du film du CNC et SNC/DND, La Bandera de Julien Duvivier sera à l'affiche du festival international du film de Toronto (Canada) et à la Filmoteca Catalunya à Barcelone (Espagne). Toujours au mois de juillet et jusqu'au 5 août, trois films issus des collections des Archives participent à la rétrospective dédiée à Edgar G. Ulmer à la Cinémathèque française.
En août a lieu le festival de Douarnenez où sera projeté Le Sexe du diable d'Imanol Uribe. Le Lincoln Center, à New York, propose une rétrospective des films de Carlos Diegues. Le 21 août, L'Inhumaine de Marcel L'Herbier sera projeté au festival Bonner Sommerkino (Bonn, Allemagne) puis au Filmmuseum de Münich le 1er septembre. Retour en France avec une programmation «Vittel, une ville santé française» par le Ciné-club 88 de Vittel. Les grands festivals de l'été ouvrent leurs écrans aux films des Archives : Lussas avec Sur la Baltique dans une thématique "Pays Baltes" et les 28èmes rencontres Cinéma de Gindou avec, notamment, une programmation "Les femmes aux urnes".
Le 5 septembre, le film L'Eveil (1925), de Gaston Roudès et Marcel Dumont, sera proposé au public suisse au Fairmont Le Montreux Palace. De nombreuses projections des films issus des collections des Archives françaises du film du CNC sont également prévues en octobre avec, notamment, une rétrospective Emile Cohl à la cinémathèque slovène de Ljubiana, les Rendez-vous de l'histoire de Blois qui s'attache cette année aux paysans dans l'histoire, des films de patrimoine du Nord à L'Hybride (Lille), le Festival Lumière à Lyon et Le Giornate del Cinema Muto, à Pordenone, avec le film Mr Pickwick's Predicament dans un cycle «Charles Dickens»....
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Crédits
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Textes : Béatrice de Pastre, Eric Le Roy, Sophie Le Tétour, Dominique Moustacchi, Laurent Bismuth & Magali Gourret
Iconographie et photos : Dominique Moustacchi & Magali Gourret
Remerciements à Eric Loné
Relecture et corrections : Dominique Moustacchi
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