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Editorial - octobre 2012 |
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Comme à chaque livraison, la lettre brosse un panorama des activités des Archives françaises du film du CNC dans toute leur diversité. Ainsi les corpus mis en exergue, ce mois-ci la représentation du monde rural, sont l'occasion de faire un bilan thématique de plusieurs années de traitement des collections. Face à leur enrichissement constant - ce sont ainsi près de 10 000 nouvelles boîtes qui ont rejoint la batterie de Bois d'Arcy en 2012- ces points d'étape dessinent des ensembles cohérents qui permettent d'organiser en terme de contenu l'apparent désordre numéraire, de donner du sens là où le traitement unitaire ne reconnaît que le point de vue fragmentaire. C'est ainsi qu'apparaît l'évolution des représentations au fil des décennies, le cinéma se faisant miroir d'une société qui est transformée par l'évolution technique, la mutation du corps social et les choix d'aménagement du territoire.
Ces rassemblements signifiants autour d'un thème ou d'un auteur (Émile Cohl, André Sauvage) rencontrent aujourd'hui le public grâce à la multiplication des écrans qui s'ouvrent à lui : festival des Rendez-vous de l'Histoire à Blois, rétrospective à la Cinémathèque de Ljubljana, édition DVD d' Etudes sur Paris , restitution à travers une collecte archivistique à la Bibliothèque nationale de France de l'oeuvre de deux artistes contemporaines en leur présence... Autant de dispositifs de rencontre du patrimoine cinématographique auxquels nous vous encourageons à participer avec la même passion qui préside à l'ouverture de chacune des boîtes qui arrivent entre nos mains...
Béatrice de Pastre - Directrice des collections des Archives françaises du film - CNC
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"Découverte thématique des collections" 8 - Agriculture et monde rural
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Batteuse de blé © Association frères Lumière
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«Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée et les vraies mines et trésors du Pérou». Si beaucoup parmi nous connaissent cette métaphore fameuse et qu'ils citent encore parfois, tous ne savent pas qu'elle est tirée d'Economies Royales, de Maximilien de Béthune, duc de Sully. Dans cet ouvrage publié au tournant du 17e siècle, le ministre de Henri IV, qui fut aussi son ami, livrait sa théorie de la gestion de l'Etat. Il y prônait particulièrement le développement de l'agriculture quand le roi, créateur de la manufacture des Gobelins, souhaitait favoriser les arts, les techniques, et ce que l'on n'avait pas encore coutume de dénommer les industries de ce Luxe dont Sully était l'ennemi. Ainsi, c'est sous Sully que le bétail et les outils du travail agricole deviennent insaisissables par les hommes de loi, que l'on construit les voies de communication qui facilitent les échanges de marchandises comme l'exportation du blé et du vin qu'a décidés le pouvoir. Malgré cette politique volontariste les paysans ne pourront pas toujours en récolter directement les fruits et s'attabler le dimanche autour de la poule au pot emblématique du programme du bon roi Henri.
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A nous jeunes © Les Films du Centaure
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Au fil des siècles, la dialectique entre la tradition incarnée par l'agriculture et la modernité portée par l'industrialisation s'est affirmée, qui encore aujourd'hui trouve un écho dans la situation de la majorité des grandes nations économiques. Toutefois, c'est peut-être au tournant du 20e siècle que cette tension a trouvé son expression la plus frappante dans l'inspiration que le travail de la terre représente pour le Cinématographe dès ses débuts. C'est la constance de cette influence que le corpus «Monde rural» des collections des Archives françaises du film du CNC entend mettre en lumière, à l'occasion des 15èmes Rendez-vous de l'Histoire qui se sont tenus à Blois du 18 au 21 octobre 2012 autour du thème des «Paysans».
Constitué majoritairement à partir des collections «non-fiction» des Archives, cet ensemble comporte aujourd'hui près d'une centaine de titres, dont l'un des plus anciens est la Batteuse de blé filmée en 1897 par un opérateur des frères Lumière. Se déclinant en de nombreux genres, du film pédagogique au film de prévention, en passant par le film de propagande mit en exergue aux Rendez-vous de l'Histoire, il illustre à lui seul tout le spectre des usages que, pour le meilleur ou pour le pire, le Cinématographe s'invente au cours des décennies. D'Erreur de porte, comédie burlesque réalisée en 1904, aux films coloniaux tournés jusque dans les années 1950, tel Island of Faith, réalisé par John Ferno au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale pour promouvoir le Plan Marshall, le corpus se dessine riche et varié. Dans les années 1920 et 1930, le cinéma se fait promoteur du «monde rural» afin d'endiguer l'exode massif qui tendait à désertifier les campagnes. Dans les villes, l'électricité apporte confort et rationalisation de la production ; dans les campagnes, le cinéma vient distraire la population et tenter de réduire l'attraction exercée par les lumières de la cité. Mais au tournant des années 1940, il prend un autre tour, propagandiste : ainsi, A nous jeunes (1943) de Paul de Roubaix, est consacré au service civique rural et à sa sollicitation des adolescents citadins pour mener à bien les travaux agricoles et éveiller en eux le sens de la communauté nationale.
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La Bonne méthode
© Succession benoit-Lévy
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Ce sont ainsi des auteurs, des formes novatrices et des genres variés que les Archives françaises du film du CNC s'attachent à faire redécouvrir, afin que soit reconnue l'importance de leur contribution à l'histoire du Cinéma et de ses formes.
A l'heure de la prise de conscience écologique et alors que la politique agricole commune reste l'un des enjeux d'une Union européenne ébranlée par la crise, nous avons certainement beaucoup d'enseignements à retirer du regard porté depuis plus de cent ans par le cinéma sur le monde rural. Même si l'on n'apprend plus forcément la citation du duc de Sully à l'école primaire.
Voir également l'ensemble thématique sur l'Agriculture
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Film identifié: une course cycliste en 1937
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L'Humanité (Paris) n°14023 du 10 mai 1937
Source Gallica |
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La lettre d'information de juillet dernier des Archives françaises du film du CNC proposait à la sagacité des internautes un film, en deux bobines, contenant les épreuves non montées d'une course cycliste initialement annoncée comme étant le "Grand prix du 1er mai d'Hoboken en Belgique" (1937)...
Un amateur de cyclisme a pu retrouver le journal "L'Humanité" daté du 10 mai 1937 et relatant l'événement sportif. Sa contribution vient confirmer l'une des pistes qui avaient été suivies lors de l'inventaire du film, à savoir qu'il s'agit du derby de Saint-Germain, couru en 1937 sous le patronage du journal "Ce soir".
Résumé : Parrainée par le journal "Ce soir", une épreuve cycliste derrière moto se dispute sur des routes bordées d'arbres. De nombreux spectateurs assistent à la course qui se termine par la victoire de l'équipe Génial-Hutchinson.
Films en quête d'identification
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Sortie DVD : Etudes sur Paris d'André Sauvage |
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jaquette du DVD et livret d'accompagnement
© CNC |
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Toute la vie d'André Sauvage a été marquée par le refus de la soumission. Cinéaste, producteur, écrivain, peintre, photographe, il a fait preuve d'indépendance, produisant ses films, n'acceptant aucune compromission pouvant mettre en danger sa liberté. Mais, plus que tout, il était poète : il a vécu le cinéma à la première personne, dans son propre monde. André Sauvage a laissé un parcours et une oeuvre d'une nature singulière, celle d'un artiste pur. Il aurait pu avoir la carrière d'un Jean Vigo, mais ce poète blessé a préféré tout abandonner pour se consacrer à la vie des champs après avoir été dépossédé d'un film qui lui tenait à coeur et pour lequel il a tout donné : La Croisière jaune. L'ensemble de ce qui subsiste de son oeuvre a été déposé aux Archives françaises du film il y a vingt ans, et a fait l'objet d'une sauvegarde.
Etudes sur Paris, son chef d'oeuvre, est édité pour la première fois dans un coffret DVD par Carlotta. On penètre dans le Paris de la fin des années 1920 en péniche, par les canaux qui rejoignent la Seine et où s'active le peuple des quais. De la Tour St Jacques à la butte Montmartre, au rythme des monuments historiques, la traversée de la capitale donne à voir une foule changeante… Portrait urbain d'une ampleur inédite, Études sur Paris est une visite lyrique du Paris des années folles. Pionnier du documentaire d'art, André Sauvage capte avec une sensibilité visuelle extraordinaire le bouillonnement de la ville, les hauts lieux et les quartiers populaires d'une capitale en pleine mutation. Entre naturalisme et modernité, son regard personnel et sensible le rapproche des grands cinéastes visionnaires de l'époque. Une oeuvre monumentale. La copie présentée d'Études sur Paris est une restauration photochimique réalisée par les Archives françaises du film du CNC, numérisée puis restaurée par le laboratoire l'Immagine Ritrovata de la Cinémathèque de Bologne.
Le coffret comprend également en complément des films rares comme Pivoine déménage (1929) avec Michel Simon, ainsi que des documents (rushes, coupes de films perdus), tous provenant des collections des Archives françaises du film : La Traversée du Grépon, Portrait de la Grèce, Edouard Goerg à Cély, des films de famille, ainsi qu'un livret richement illustré, une filmographie commentée et des textes contemporains de la sortie du film.
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Emile Cohl : franc-tireur de l'image animée
Programmation à la Slovenka Kinoteka de Ljubljana les 19 et 20 octobre 2012
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L'Avenir dévoilé par les lignes du pied
© Marc Sandberg
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La dernière grande rétrospective consacrée à l'oeuvre d'Emile Cohl s'est déroulée à Paris en avril 2008. Elle nécessita, en amont, d'importants travaux d'inventaire, de comparaisons et d'analyses de copies et d'éléments originaux dans plusieurs archives et cinémathèques en France comme à l'étranger pour déboucher sur nombre de restaurations. L'essentiel de ce travail fut mené en France, aux Archives françaises du film du CNC à Bois d'Arcy, en étroite collaboration avec Pierre Courtet-Cohl, petit-fils d'Emile (Courtet) Cohl, ardent et discret défenseur de la mémoire de son grand-père, décédé peu de temps avant cette rétrospective.
Cette exploration des fonds dans l'obscurité d'une salle de visionnage permit de remettre à jour un travail entrepris vingt ans plus tôt par Gaumont. C'est ainsi que des films invisibles dans de bonnes conditions depuis de nombreuses années furent ainsi restaurés, projetés et (enfin) édités en DVD.
Ce nouvel inventaire exhaustif commencé en 2006 permit de (re)découvrir un ensemble de films inédits. Inédits car, soit jamais restaurés comme Les Exploits de Feu-Follet (1911) soit jamais montrés dans leur intégralité comme L'Avenir dévoilé par les lignes du pied (1917), soit considérés comme perdus à l'instar des Allumettes fantaisistes (1912). Ces films furent identifiés et datés avec précision grâce aux petits carnets rigoureusement tenus à jour par Cohl lui-même, qui eut la bonne idée de lister tous les films auxquels il participa de 1908 à 1923, date officielle et théorique de la fin de sa carrière cinématographique. Sur les trois cents films réalisés en quinze ans, ou auxquels Cohl apporta sa contribution, seuls soixante-douze subsistent aujourd'hui.
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Fantasmagorie © Gaumont-Pathé Archive |
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Les séances proposées par les Archives françaises du film du CNC à la Slovenska Kinoteka du 19 au 20 octobre 2012, regroupaient un florilège de ses films les plus emblématiques. Témoignant d'une part de son passage dans les différentes sociétés de production dans lesquelles il fut engagé : Gaumont, Pathé frères, Eclipse, Eclair, Eclair New-York, et d'autre part, de la singularité artistique de Cohl, de sa fantaisie dans le domaine de l'animation et de sa perception du monde. N'oublions pas qu'avant de devenir cinéaste à l'âge de 50 ans, Cohl fût, avec plus ou moins de succès, comédien, photographe, scénariste, mais surtout illustrateur, caricaturiste et affichiste. Autant de disciplines qui permirent à ce franc-tireur autodidacte de l'image, d'aborder avec toute la patience et la dextérité requise, ce nouvel art que l'on appelait encore le Cinématographe.
Les oeuvres sélectionnées par les Archives françaises du film du CNC dans leurs collections témoignent de la grande inventivité de cet artiste pluridisciplinaire, bien conscient de la valeur ajoutée du cinématographe qui lui permet de prolonger les lignes de ses dessins et de mettre en mouvement ses idées les plus fantasques. Le film manifeste, Fantasmagorie (1908), en est le plus bel exemple. En le réalisant, Emile Cohl semble démultiplier sa libre création artistique laissant sous-entendre que, seul, le cinématographe est à même de repousser les limites des possibilités techniques et graphiques utilisées jusqu'alors dans ses dessins.
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Les Aventures des Pieds Nickelés
© Collection CNC-AFF
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Outre le fait de voir dans des conditions optimales cette sélection présentée intégralement en 35mm, certains titres apportent un éclairage nouveau sur l'oeuvre de Cohl. Ainsi il n'est pas rare de voir pointer un soupçon affirmé de patriotisme dans des films réalisés entre 1914 et 1918 – Les Exploits de Farfadet (1916) inédit jusqu'alors, Les Aventures des Pieds Nickelés (1917) présenté dans une version longue inédite - ou bien de constater que Cohl se fait l'écho des progrès de la recherche scientifique de son époque – Les Joyeux microbes (1909), Génération spontanée (1909) – sans oublier l'émergence du film de réclame qui deviendra plus tard le film publicitaire et dont Cohl fût l'un des premiers concepteurs avec Les Allumettes fantaisistes (1912), inédit également.
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klonaris/Thomadakis à la BnF
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Unheimlich I : Dialogue secret
© Klonaris/Thomadaki |
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Le 16 novembre 2012, en partenariat avec les Archives françaises du film du CNC, la Bibliothèque nationale de France consacre une manifestation à Maria Klonaris et Katerina Thomadaki, duo artistique qui depuis les années 1970 développe un travail transgressif, transculturel et trans-genres. Différentes projections révèleront une oeuvre qui mêle supports et disciplines (cinéma, vidéo, estampe, dessin, photographie, performance, installation, création sonore) pour conjuguer mythes et préoccupations sociopolitiques contemporaines.
Cet événement rendra visible pour la première fois le fonds d' archives Klonaris/Thomadaki constitué par la BnF en collaboration avec les artistes et s'inscrit dans un projet mis en place par les Archives françaises du film du CNC depuis dix ans. Les artistes plasticiennes y ont en effet déposé leur oeuvre filmée sur pellicule, ce qui a permis la restauration de trois de leurs oeuvres majeures.
Apparues sur la scène artistique post-68, les deux artistes ont pratiqué tout ensemble les arts plastiques, le cinéma et l'art numérique à une époque où les cloisonnements étaient bien plus tenaces qu'aujourd'hui. Nourries de pensée critique (psychanalyse, philosophie, sociologie, engagement féministe...), elles ont porté la revendication d'une «féminité radicale» et questionné la frontière entre les sexes avant l'éclosion du mouvement «queer». Les motifs-clés de leurs grands cycles sont l'hermaphrodite, l'ange, le féminin comme «inquiétante étrangeté», le «monstre».
A l'occasion de cette rencontre, sera projeté Unheimlich I : Dialogue secret (1977 - 1979, 70 min). Ce film étrange et somptueux déploie un univers hypnotique autour des performances silencieuses de ses trois protagonistes et se réapproprie, du côté du féminin, l'«inquiétante étrangeté» freudienne. Ce film a été restauré par les Archives françaises du film du CNC, à partir du super 8 original, avec le soutien de la Fondation J.F. Costopoulos (Athènes).
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Journées du patrimoine : visite de la batterie de Bois d 'Arcy |
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Le directeur du patrimoine devant une cellule "Nitrate" évoque les dangers de ce support à un groupe de visiteurs.
© CNC |
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Exceptionnellement, à l'occasion des Journées du Patrimoine les 15 et 16 septembre derniers, consacrées au "Patrimoine caché", les Archives françaises du film du CNC ont dévoilé leurs secrets...
C'est ainsi que près de 250 visiteurs se sont inscrits pour explorer les lieux de stockage des films sur support de sécurité et sur support nitrate. Ils ont également arpenté les anciens souterrains de la batterie militaire, l'occasion pour les riverains, venus en voisin, de connaître l'histoire de ces murs. Le directeur du patrimoine et la directrice des collections se sont convertis en guides le temps de ce week-end ensoleillé et ont pris plaisir à répondre aux nombreuses questions. A mi-parcours, Pierrette Lemoigne faisait partager sa passion pour les couleurs oubliées du cinéma des premiers temps. Enfin, les visiteurs se sont transformés en spectateurs le temps d'une petite séance de cinéma dans la salle André Malraux du site. Au programme, Comment on sauve un film, animé par la voix gouailleuse de Claude Chabrol, et des films "cachés" : essais d'acteurs (dont le premier essai de Jean Marais), "making-of" des débuts du cinéma et, pour finir, des films publicitaires animés promouvant... la cigarette !
Voir Comment on sauve un film
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Films restaurés par les AFF-CNC projetés dans le cadre de la diffusion culturelle
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Alice au pays des merveilles © StudioCanal |
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Le cycle des Archives françaises du film du CNC sur le cinéma fantastique français, programmé en avril et mai dernier à la Cinémathèque française, se poursuit à la Cinémathèque de Bretagne jusqu'au mois de janvier.
Au mois de novembre, les Archives françaises du film du CNC sont également sollicitées pour le Festival Lumières d'Afrique avec le prêt de deux films sur la Tunisie, et le cycle « La Crise économique » programmé par la Filmoteca de Catalunya, avec Le Temps des cerises.
De novembre à décembre, une rétrospective des films restaurés de Jean Rouch est organisée, à New York, par les services culturels de l'ambassade de France aux Etats-Unis. Une partie de cette programmation sera reprise par l'Université de New York et l'Anthology Film Archive, toujours à New York, puis par le Harvard Film Archive (Harvard) et le Northwest Film Forum (Seattle).
Du 28 novembre au 2 décembre, se tiendra à la Cinémathèque française la 1ère édition du Festival international du film restauré : «Toute la mémoire du monde» à laquelle s'associent les Archives françaises du film du CNC.
Au mois de décembre, le Conservatoire régional du Grand Nancy organise un ciné-concert avec, à l'affiche, L'Assassinat du duc de Guise. Les Archives françaises du film du CNC participent, comme tous les ans, aux Sommets du cinéma d'animation de Montréal avec, notamment, Alice au pays des merveilles. Le 21 décembre, elles seront bien évidemment présentes pour Le Jour le plus court, manifestation organisée par le CNC.
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Crédits
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Textes : Béatrice de Pastre, Eric Le Roy, Laurent Bismuth & Magali Gourret
Iconographie et photos : Magali Gourret
Remerciements à Jean-Baptiste Garnero
Relecture et corrections : Dominique Moustacchi
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